A vot' (bon) coeur, messieurs, dames...!

Le SPF Justice n'entend pas débloquer actuellement un budget pour équiper les palais de défibrillateurs cardiaques....

La défibrillation précoce associée à la réanimation cardio-pulmonaire augmente fortement les chances de survie d'une personne en arrêt cardio-respiratoire qui présente une fibrillation ventriculaire, principale cause de mort subite chez l'adulte.

Afin que ce geste médical puisse être effectué le plus rapidement possible, des appareils simplifiés nommés défibrillateurs entièrement automatiques' (DEA) ou défibrillateurs semi-automatiques (DSA) ont été créés. Ces appareils procèdent automatiquement au diagnostic de la fibrillation ventriculaire, grâce à un logiciel d'analyse de tracé électrocardiographique. Ils sont utilisables par les secouristes et sapeurs-pompiers, mais aussi par le public non formé. (source Wikipedia)

Les acteurs de la Justice (magistrats, personnel, avocats) sont contraints à la débrouille pour équiper leurs palais de ces appareils dont la présence paraît pourtant élémentaire dans un environnement que l'on sait particulièrement stressant pour les justiciables avant tout.

Voyez le reportage que le JT de la RTBF a consacré tout récemment à cette question. Emmanuel Mathieu est conseiller à la cour d'appel de Mons et administrateur de l'UPM. Le sujet commence à 1'24 min: https://www.rtbf.be/auvio/detail_jt-19h30?id=2288455&utm_source=media&utm_campaign=social_share&utm_medium=email_share